
Terreur et répulsion. Un millier d’espoirs et d’envies au fond de mon crâne, encéphalique entité vouée au conformisme latent du désespoir domestique. Mon stylo comme un génie n’aimant rien écrire comme la douleur, à l’envers de mon coeur qui ne ressent rien. Rêve. Folie. Phobie. Qui suis-je, à part un esprit qui se complaît dans ses pensées les plus noires? La société a besoin de toi. Tu n’as pas besoin d’elle.
« Je n’aime pas qu’on m’entre dans l’âme, surtout si c’est pour cracher dedans ». Eternel combat du panier percé sur tous les fronts. J’envie, je rêve, j’envisage. Mon regard toujours tourné vers l’astre de la nuit, j’avance. Les pieds écorchés. Et ne m’arrêterai jamais.
Ne pars pas, mon funambule. Ne pars pas. Ou du moins reviens. Ton absence sera comme une galaxie en moins dans mon univers. Reviens, des rêves plein le coeur et des histoires plein la tête. Je t’attendrai.
La douleur rapproche, mais les rêves rassemblent. Les rêves rassemblent.